Julien,

Voilà déjà un an que tu es parti, je pense beaucoup à toi, à ta famille.
On ne peut pas toujours être fort, et en ce moment je craque en pensant à toi et aux autres aussi...
Je vois souvent tes proches et aussi Nicolas que je ne regarderai plus jamais avec le même regard.
On ne t'oublie pas, et tes amis me parlent souvent de toi, en particulier Amélie.
Je n'accepte pas, comme pour les autres, je ne peux pas accepter...
Dans mes moments de solitude, si tu savais combien de fois je pense à toi, je te parle, sans doute parce que ça me fait du bien, il ne faut pas oublier.
Je voudrais aussi exprimer à ta famille toute mon affection en ce jour.
Marion

Marion THIOLIERE- 29-09-07